Gros suspense pendant l’enregistrement : le problème des visas. Jamais un employé d’une compagnie aérienne a vérifié la présence de visa sur nos passeports mais cette fois, l’écran de l’ordinateur indique à l’employé qu’il faut les vérifier : "vous avez un visa ?". On ne sort que le papier que nous a envoyé Asiatica Travel, indiquant que celui-ci est à retirer à l’arrivée. L’employé nous dit qu’il ne comprend rien au Vietnamien : il n’a pas vu la ligne en anglais sous chaque ligne en Vietnamien. Il ne semble donc pas habitué à ce genre de document, il cherche son chef pour lui demander son avis. Une chance, celui-ci est occupé et il décide par lui-même d’imprimer nos cartes d’enregistrement. Ouf ! C’est passé ! Aura-t-on un nouveau contrôle à Paris ?
Départ de Toulouse avec du retard : lors de l’arrivée du l’avion en provenance de Paris, le satellite refuse d’obtempérer, les passagers passeront par la piste pour rejoindre l’aéroport. Un technicien arrive à le faire bouger et le positionner contre l’avion, on embarquera donc sans passer par la piste. Sauf qu’après l’embarquement, le satellite refuse à nouveau d’obtempérer, ce qui est plus ennuyeux car il n’est plus possible de déplacer l’avion.
Après 6 heures d’attente à Roissy-Charles de Gaulle, Anne-Marie voit des gens se masser devant la porte d’embarquement. Il y a du laisser aller, car l’embarquement n’est pas effectué dans l’ordre des sièges dans l’avion. On est assis tout à l’arrière, on aurait galéré si on avait attendu. Chaque siège est équipé de son propre écran vidéo, on passera les 10 heures de vol sans souci.